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Historique
Clerlande a gardé un patrimoine important de châteaux, de vestiges plus ou moins bien conservés de domaines, croix, fontaine qui retracent un passé riche d’Histoire.
Celle-ci commence à Vazeilles qui est le berceau de la commune. En 1094, on retrouve des traces de l’ancienne paroisse dans des documents relatant un don des frères de Montpensier à l’abbaye de Cluny.
Vazeilles, à l’emplacement de la Grande Gravière est alors chef-lieu avec église, hôpital, château de haute justice, moulin, garenne, boucherie, une communauté de paysans. Elle comprend plusieurs quartiers, les Boules avec la Pauze, Vazeilles, les Sauzines, le quartier de l’Orme et le Fort de Clerlande.
Alphonse de Poitiers fait de Vazeilles une ville franche en 1269. A sa mort, en 1271, elle devient indépendante avec le rattachement de l’Auvergne à la Couronne. Après des héritages, transactions diverses, elle est annexée à la châtellenie d’Ennezat le Chastel, sous le contrôle des Comtes d’Auvergne, puis du Duc de Berry. Finalement, ce sont les sénéchaux et les intendants royaux qui la gèrent jusqu’à la Révolution.
La situation de Vazeilles, au milieu des marécages de Limagne fait que la Grande Peste de 1348 qui frappe toute la France entière fait encore plus de ravages ici (50 % de morts). De nombreux habitants se réfugient dans des lieux plus salubres, Varennes, Pessat, Les Martres. Le seigneur de Vazeille lui-même part à Ennezat.
Désertée, Vazeilles est livrée au pillage des routiers et des mercenaires.
A nouveau, sous Henry IV, elle souffre de la pression des seigneurs : seigneurs Ligueurs de Palerne et de la Pauze, celui royaliste de Bellevue. Cette pression accentue le morcellement de la paroisse et sa disparition.
Au XVIIème siècle, c’est Clerlande (dont le fort appartient au Duc de Bouillon) qui s’affirme avec de gros domaines qui s’enorgueillissent parfois d’un château (Bellevue, La Pauze, de Lauzanne).
Tout cet ensemble fait partie de la seigneurie de Benistan et de la paroisse de Varennes et, à la Révolution de la commune du même nom.
Celle-ci commence à Vazeilles qui est le berceau de la commune. En 1094, on retrouve des traces de l’ancienne paroisse dans des documents relatant un don des frères de Montpensier à l’abbaye de Cluny.
Vazeilles, à l’emplacement de la Grande Gravière est alors chef-lieu avec église, hôpital, château de haute justice, moulin, garenne, boucherie, une communauté de paysans. Elle comprend plusieurs quartiers, les Boules avec la Pauze, Vazeilles, les Sauzines, le quartier de l’Orme et le Fort de Clerlande.
Alphonse de Poitiers fait de Vazeilles une ville franche en 1269. A sa mort, en 1271, elle devient indépendante avec le rattachement de l’Auvergne à la Couronne. Après des héritages, transactions diverses, elle est annexée à la châtellenie d’Ennezat le Chastel, sous le contrôle des Comtes d’Auvergne, puis du Duc de Berry. Finalement, ce sont les sénéchaux et les intendants royaux qui la gèrent jusqu’à la Révolution.
La situation de Vazeilles, au milieu des marécages de Limagne fait que la Grande Peste de 1348 qui frappe toute la France entière fait encore plus de ravages ici (50 % de morts). De nombreux habitants se réfugient dans des lieux plus salubres, Varennes, Pessat, Les Martres. Le seigneur de Vazeille lui-même part à Ennezat.
Désertée, Vazeilles est livrée au pillage des routiers et des mercenaires.
A nouveau, sous Henry IV, elle souffre de la pression des seigneurs : seigneurs Ligueurs de Palerne et de la Pauze, celui royaliste de Bellevue. Cette pression accentue le morcellement de la paroisse et sa disparition.
Au XVIIème siècle, c’est Clerlande (dont le fort appartient au Duc de Bouillon) qui s’affirme avec de gros domaines qui s’enorgueillissent parfois d’un château (Bellevue, La Pauze, de Lauzanne).
Tout cet ensemble fait partie de la seigneurie de Benistan et de la paroisse de Varennes et, à la Révolution de la commune du même nom.